Limelette, un jour comme les autres, quelques maitres d'ouvrages sont là.
Ils trient les déchets qui s'accumoncèlent (mot-valise très boisdelterrique) sur le parking.
L'un a laissé du Fermacell, l'autre quelques bouts de multiskin, le troisième des morceaux de Socarex quand ce n'est pas une chute de fourreau. Les déchets appellent les déchets et des croquants peu méritoires trouvèrent l'endroit fort à leur gout pour y ajouter qui une batterie, qui un radiateur.
Après quelques semaines, c'est un dépotoir naissant qui se développe à une vitesse proportionnelle à la négligence ambiante. Après un rappel des consignes, un entrepreneur loyal a tout de même fait venir un container pour évacuer au delà de ce qui eût pu lui être attribué.
Mais le reste reste.
Nous voilà donc en train de trier au lieu de travailler dans nos maisons ou au bureau ou de jouer avec nos enfants. Nous irons porter cela à la déchetterie.
Il y a parfois des petites négligences qui entrainent des tracasseries pour les autres. Il n'est visiblement pas donné à tout le monde de s'en apercevoir. Une clé de maison prise sans être remise en place entraine parfois des heures de recherche et de stress inutiles, tout comme la manie de laisser portes et fenêtres béantes sur le chantier (il y a des petits lutins des bois qui refermeront pendant la nuit, hein).
Limelette, un jour comme les autres, quelques maitres d'ouvrages sont las. -- jac
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