dimanche, novembre 12, 2006
Smack, oncle Martin, oncle Gaston !
Samedi 11 novembre, après la trompette au soldat inconnu, nous sommes partis au front, armés jusqu'aux dents, bottés commes des chats, vers notre champ de bataille préféré. Nous y avons affronté le grain du matin et la boue qui colle et entrepris quelques travaux d'aménagement du terrain. En vedette, il y avait bien sûr les kissing gates ou portes embrassantes. Leur principe est simple, il s'agit de portiques ne permettant qu'aux piétons de passer. En effet, la porte ne se débloque qu'au son d'un bisou (d'où le nom). Si un cycliste veut passer, il ne peut embrasser sans tomber de vélo. Quant aux moutons, ils ne savent pas s'embrasser sans faire un ignoble bêêêêê qui couvre le son mélodieux du bisou. En ce jour d'armistice, la porte embrassante était en harmonie avec la célébration de la réconciliation européenne.
D'autre part la maison Maes pousse encore et devrait atteindre son faîte cette semaine.
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1 commentaire:
Ce Jack, quelle érudition. Auu moins j'ai compris d'où il tient son fameux "Ne m'oubliez pas"...
"O vous, qui prenez aujourd'hui la clé des cieux
Vous, les heureux coquins qui, ce soir, verrez Dieu
Quand vous rencontrerez mes deux oncles, là-bas
Offrez-leur de ma part ces "Ne m'oubliez pas"
Ces deux myosotis fleuris dans mon jardin
Un p'tit forget me not pour mon oncle Martin
Un p'tit Vergiss Mein nicht pour mon oncle Gaston
Pauvre ami des Tommies, pauvre ami des Teutons..."
Georges Brassens - Les deux oncles
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