Dès lundi, toutes les forces de nos troupes cécéboisiennes ont basculé d'un coup sur l'aile gauche. Une vraie campagne napoléonienne avec des soleils dignes d'Austerlitz.
Profitant de superbes éclaircies et d'un climat tempéré, la maison de Judith bat tous les records d'érection. "Pourvou qué ça doure" n'aurait pas manqué d'ajouter Laetizia Ramolino, la mère de l'Empereur qui, du haut de ses 8 enfants, en connaissait un bout en la matière...
Et voilà que surgit du néant l'angle de la maison de Judith : deux grandes trouées, bientôt vitrées, baptisées depuis longtemps le Bollewinkel du Bois del Terre.
Pendant ce temps, la brique de parement grimpe de manière foudroyante le long des blocs du pavillon commun.
Place aux superbes photos de Judith... Steph
1 commentaire:
Décidément, j'arrive toujours sur le blog comme les cavaliers d'Offenbach.
Patience et longueur de temps font-ils plus que force ou que rage ?
La question est posée.
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